36. La Grande Sophie au Club (Cirque Royal, Bxl), le 17/10/2023
Dans un sous sol en pierre, La Grande Sophie nous inonde de sa bonne humeur communicative.
Dans un sous sol en pierre, La Grande Sophie nous inonde de sa bonne humeur communicative.
Digest:
Giga hamburger (bon!) servie avec des frites archi-deguelasses.
Service boisson au top par rapport à l'an passé!
Eye hate god fidèle à lui même! Un chanteur amoché qui n'arrête pas de nous faire des fuck! Leur son? Un sludge d'outre tombe d'une efficacité rare pour les aficionados du genre. Avec la météo clémente et un site magnifique, tout s'est aligné pour ns faire passer un bon moment metal... Sauf les frites hein!
Ber
Point négatif :
Météo caniculaire
1heure de marche pour se rendre sur site (avec les djones!)
1 heure pour commander une bière et le double pour jaffer !!!!!
N'en rajouter plus!
Point positif :
une LEGENDE sur scène !!!!!!!! Ben, charismatique sans trop en faire, joue sa musique sans coup férir! Thank you!
Ber
Oui, il y a eu une bagarre générale sur la petite placette près de la Ruche.
Oui, c'est Didier qui a dû appeler les flics à la rescousse...
Cela ne l'a pas empêché de se taper un petit italien avec Jérome (Bureau) avt d'aller pogotter au concert!
Concert qui n' a véritablement commencé qu'au premier son du Saxophone (Who's the king?)
La fosse s'est alors embrasée et on a remonté le temps, sur une Plaine en 1995, en train de faire les mêmes pirouettes mais en plein air!
Merci messieurs pour cette Madeleine de Proust IN OUR FACE!
Ber
Moment folk suspendu....
Sortie en amoureux dans la capitale....
Découverte de The Hackles (première partie)....
Plus belle la vie?
Ber
Bye bye Litfiba! Merci pour ce concert-Somme qui a brillé de milles morceaux qui resteront tous dans la postérité du rock transalpin!
Respect Men!
Premier festival en famille....
Temps radieux....
Liminanas, du rock jouissif foutraque et Deus, la grande classe malgré le temps qui passe....
Aaaaaah, les Nuits Bota! Ses jardins verdoyants sous le soleil, son publique bobo assumé qui refait le monde entre deux verres de vin blancs et nous deux, ma fiancée et moi, qui avons consacré une de nos soirées au milieu de la semaine pour s'offrir une parenthèse musicale impromptue...
Céline, gréviste dans l'âme, a gagné les lieux seule via Liège où elle défendait les futurs combats des enseignants, et moi, perdu dans les embouteillages de rigueur (de Ringeur?), j'arrive un chouia en retard. Tout juste pour voir l'ultime morceau de la jeune Leith Ross, jeune folkeuse qui raconte tout en intimité les affres du passage à l'âge adulte.
Juste le temps de s'offrir un petit plat Thai, Helena Deland entre en scène. Armée de sa seule guitare électrique, elle nous gratifie d'un set en solo pour une communion, tout en douceur, avec le public. Son timbre de voix caresse l'âme (surtout sur le magnifique Swimming qui évoque la perte de sa maman) et son parti pris de se passer d'autres musiciens fait éclater ses racines folks. Alors que son seul album lorgne plutôt du côté de l'indie rock avec une pincée d'électro. Qu’à cela ne tienne, l'expérience demeure tout de même enivrante car en 25 minutes, la montréalaise nous gratifie d'un set subtil et authentique qui me poussera, dans l’avenir, à la revoir dans d'autres lieux et dans d'autres conditions...
Anecdotique pour moi le concert de la tête d'affiche Andy Schauff. Maintenant, il faut reconnaître que le public était bien chaud pendant le set et que ma Céline a pas mal apprécié aussi. A mes yeux, ce n'était qu’un petit concert country rock sans beaucoup de folie mais qui faisait le job....
Ber
Oui bon, revoir Feu ! Chatterton une seconde fois, cela enlève forcément un peu l'effet de surprise. Mais maintenant que les sieurs se déplacent près de mon domicile, je me voyais mal les moucher de la sorte.
Et le constat est assez simple : le groupe a grandi (deux albums sortis depuis mon premier concert). Et ils m’apparaissent quelque peu assagis. Toujours aussi à l’aise sur scène, le chanteur aime à se jouer du public par de vannes que lui seul comprend (private joking !). Je dirai même qu’il n’était pas loin de soliloquer mais bon…Force est de constater que chaque chanson entamée dans la foulée était franchement habitée par le groupe. Et le tracklisting imparable !
Energique, dansant et poétique, la musique de Feu ! ne peut que foutre la patate. Pourtant, le jour était funeste. Car, à 15 min de la fin du set, j’apprenais dans les travées de la salle que La Squadra Azzura ne participerait pas au Mondial 2022 ! Eliminé par une Macédoine du nord sortie des limbes du football ! Groggy, j’écoute un dernier morceau du groupe qui m’aidera, sans coup férir, à mieux faire passer la pilule…
Ber